Comme j'aime approfondir ces petits poèmes qui cachent sous leur aspects enfantins bien des sagesses, j'ai été lire sur le net et tapant le nom de l'auteur. Voici ma magnifique trouvaille :"L’attention que portent certains poètes de haïku contemporains au bruit du pas des abeilles, comme ici, ou au son imperceptible du brouillard, relève de cette fameuse « attention aux choses infimes » énoncée au XVII° siècle par Bashô, comme l’un des principes de base du haïku. Selon cette perspective, seul un poète éveillé, en osmose avec le vivant, peut se taire intérieurement, au point de prêter ainsi l’oreille au silence du silence, dans un état de réceptivité inouïe à la création continue du monde." Lu sur le site Varvillage.sfr.fr
La danse des abeilles est un langage exceptionnel dans le monde animal. Et ce n'est pas que de la poésie ! C'est une observation des scientifiques. Leurs danses leur permet de communiquer toutes les informations nécessaires pour trouver ce dont elles ont besoin : nectars, eau, etc.